L’éclatement de la crise, quand bien même il est évident qu’elle a des répercussions sur les bénéfices des entreprises, ne change en rien la question de la nécessité d’un salaire vital. Il ne s’agit pas d’une mesure laissée au bon vouloir de l’entreprise, mais bien d’un droit fondamental.
Un salaire permettant aux travailleurs de couvrir leurs besoins de base est une nécessité et un droit fondamental que les multinationales, qui font des profits considérables grâce à un coût du travail extrêmement faible dans ces pays, ont les moyens d’assurer.