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Les bénéfices des grandes marques sont tellement importants qu’en réduisant un peu leur marge, elles pourraient permettre aux ouvrier-ère-s qui fabriquent leurs produits de recevoir un salaire décent, sans que le prix du vêtement augmente.
Par exemple : sur une chemise vendue 8 €, l’ouvrier-ère qui l’a confectionnée ne touche que 24 centimes. Doubler son salaire ne se traduirait donc pas par un surcoût important pour le/la consommateur-trice, et encore moins pour les multinationales qui réalisent des millions d’euros de bénéfices chaque année.