Collectif Éthique sur l’étiquette

La presse en parle



AFP : Nike et Adidas étrillés pour leur politique envers les ouvriers
Les équipementiers Nike et Adidas consacrent de plus en plus d’argent à parrainer des sportifs et rémunérer leurs actionnaires, mais toujours moins aux ouvriers, dénonce un rapport du collectif "Ethique sur l’étiquette" publié lundi.
France-Info : Chez Nike ou Adidas, "il y a de l’argent disponible pour payer correctement les travailleurs"
Nayla Ajaltouni, coordinatrice du collectif Éthique sur l’étiquette auteur du rapport "Anti-jeu, les sponsors laissent les travailleurs sur la touche", a expliqué, lundi sur franceinfo, que le "choix économique fait par ces grands sponsors est de davantage investir dans le sponsoring et avoir (...)
Le Monde : La mode prétend se mettre à nu
Nombre de start-up s’adressent à tous ceux que les méthodes de fabrication des grandes enseignes de mode inquiètent. Depuis, H&M et Primark font preuve de plus de transparence.
RFI : 5 000 litres d’eau pour un tee-shirt !
Renouveler les collections de vêtements le plus vite possible et les vendre à des prix défiant toute concurrence. La « fast-fashion » a des conséquences néfastes sur l’environnement comme sur les conditions sociales des travailleurs - le drame du Rana Plaza.
RTL : Nayla Ajaltouni invitée du Grand Soir du 24 avril 2018
A 5 ans jour pour jour du drame du Rana Plaza, Nayla Ajaltouni invitée du Grand Soir du 24 avril.
image par defaut
Nayla Ajaltouni parmi les invités du débat d’Europe Soir de Frédéric Taddeï : L’industrie de la mode fabrique-t-elle trop de vêtements ?
France Info : Cinq ans de l’effondrement du Rana Plaza : "L’essor de la ’fast-fashion’ a aggravé la situation"
Mis à jour le 24/04/2018 | 16:45 publié le 24/04/2018 | 14:22 164 PARTAGES PartagerTwitterPartagerEnvoyer LA NEWSLETTER ACTU Nous la préparons pour vous chaque matin Votre email image il y a 13 minutes Violences à la manifestation du 1er-Mai : Mélenchon reconnaît avoir accusé (...)
La Croix : Cinq ans après le drame du Rana Plaza, la situation au Bangladesh a peu évolué
Il y a cinq ans tout juste, l’effondrement du Rana Plaza, en banlieue de Dacca, au Bangladesh, provoquait la mort de 1 138 ouvriers du textile. Les fragiles avancées en matière de sécurité et de droit du travail enregistrées depuis sont remises en cause.
Libération : Bangladesh : cinq ans après le drame du Rana Plaza, l’heure du bilan
L’immeuble s’est effondré en 2013, provoquant la mort de 1 138 ouvriers et faisant plus de 2 000 blessés parmi les 5 000 personnes des entreprises textiles qui y travaillaient.
Novethic : Rana Plaza : Cinq ans plus tard, un bilan mitigé pour la responsabilisation du secteur de la mode
Le 24 avril 2013, l’effondrement de l’usine textile bangladaise du Rana plaza provoquait la mort de plus de 1 130 personnes, essentiellement des ouvrières. Un drame qui avait fait figure d’électrochoc pour tout le secteur, jetant la lumière sur les dessous d’une mode à petit prix, mais à fort (...)